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Depuis l’Afrique du Nord où elle est localisée<ref>Disparue de la Tunisie, elle vient d’être revue en Algérie lors de l’hiver 2023-2024, après une absence d’une trentaine d’années. Sa réinstallation en période de nidification y a été constatée (Heika & al. 2024 : ''Zool. and Ecol.,'' 34 (2) : 122-128). </ref>, à l’Asie centrale en passant par l’Europe. L’essentiel des populations se trouvent sur la Péninsule ibérique et en Asie centrale. C’est la sous-espèce type qui est en {{Fra}}. En déclin dans le pays depuis le XIX{{eme}} siècle et plus particulièrement en fin du XX{{eme}} siècle, avec 2450 {{m}} chanteurs estimés en 2020. Deux populations subsistent en {{Fra}} : une occidentale depuis le Centre à l’Aquitaine qui est migratrice (10% des effectifs), l’autre méridionale et semi-sédentaire présente depuis la Crau jusqu’en Midi-Pyrénées en passant par le Languedoc et qui hiverne essentiellement en Crau et dans le Roussillon. Elle a disparu de divers endroits comme en Auvergne (Dulphy & al. 1994 : ''Le Grand-Duc,'' 45 : 38-40). Niche dans les secteurs semi-steppiques, les vignobles, de vastes cultures (céréales, luzerne). | Depuis l’Afrique du Nord où elle est localisée<ref>Disparue de la Tunisie, elle vient d’être revue en Algérie lors de l’hiver 2023-2024, après une absence d’une trentaine d’années. Sa réinstallation en période de nidification y a été constatée (Heika & al. 2024 : ''Zool. and Ecol.,'' 34 (2) : 122-128). </ref>, à l’Asie centrale en passant par l’Europe. L’essentiel des populations se trouvent sur la Péninsule ibérique et en Asie centrale. C’est la sous-espèce type qui est en {{Fra}}. En déclin dans le pays depuis le XIX{{eme}} siècle et plus particulièrement en fin du XX{{eme}} siècle, avec 2450 {{m}} chanteurs estimés en 2020. Deux populations subsistent en {{Fra}} : une occidentale depuis le Centre à l’Aquitaine qui est migratrice (10% des effectifs), l’autre méridionale et semi-sédentaire présente depuis la Crau jusqu’en Midi-Pyrénées en passant par le Languedoc et qui hiverne essentiellement en Crau et dans le Roussillon. Elle a disparu de divers endroits comme en Auvergne (Dulphy & al. 1994 : ''Le Grand-Duc,'' 45 : 38-40). Niche dans les secteurs semi-steppiques, les vignobles, de vastes cultures (céréales, luzerne). | ||
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* 2 juin 2001 - 3 {{m}} à La Garde-Adhémar (G.Olioso). | |||
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Version du 13 septembre 2025 à 22:16
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> Oiseaux (références) > Oiseaux de France
Tetrax tetrax
Outarde canepetière - Otididae
Depuis l’Afrique du Nord où elle est localisée[1], à l’Asie centrale en passant par l’Europe. L’essentiel des populations se trouvent sur la Péninsule ibérique et en Asie centrale. C’est la sous-espèce type qui est en France. En déclin dans le pays depuis le XIXe siècle et plus particulièrement en fin du XXe siècle, avec 2450 ♂ chanteurs estimés en 2020. Deux populations subsistent en France : une occidentale depuis le Centre à l’Aquitaine qui est migratrice (10% des effectifs), l’autre méridionale et semi-sédentaire présente depuis la Crau jusqu’en Midi-Pyrénées en passant par le Languedoc et qui hiverne essentiellement en Crau et dans le Roussillon. Elle a disparu de divers endroits comme en Auvergne (Dulphy & al. 1994 : Le Grand-Duc, 45 : 38-40). Niche dans les secteurs semi-steppiques, les vignobles, de vastes cultures (céréales, luzerne).
- 2 juin 2001 - 3 ♂ à La Garde-Adhémar (G.Olioso).
Notes
- ↑ Disparue de la Tunisie, elle vient d’être revue en Algérie lors de l’hiver 2023-2024, après une absence d’une trentaine d’années. Sa réinstallation en période de nidification y a été constatée (Heika & al. 2024 : Zool. and Ecol., 34 (2) : 122-128).
