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Sur Moëze-Oléron selon Olivier (2020), la hauteur moyenne d'eau des habitats fréquentés par cette espèce est de 15 cm. Elle est similaire chez {{PumPum}}, ''[[Enallagma cyathigerum]]'' ou ''[[Lestes barbarus]]'' alors qu'elle est minimale de l'ordre de 1-2 cm chez ''[[Lestes virens]]'' ou ''[[Sympetrum meridionale]]''. ''[[Coenagrion puella]]'' ne s'est montrée (une fois) qu'en eau plus profonde (50aine de cm), la quarantaine de cm correspondant à ''[[Platetrum depressum]], [[Sympecma fusca]]'' ou ''[[Coenagrion scitulum]]'' par exemple. ''[[Lestes dryas]]'' considère des profondeurs de l'ordre de 30 cm en moyenne.
Sur Moëze-Oléron selon Olivier (2020), la hauteur moyenne d'eau des habitats fréquentés par cette espèce est de 15 cm. Elle est similaire chez {{PumPum}}, ''[[Enallagma cyathigerum]]'' ou ''[[Lestes barbarus]]'' alors qu'elle est minimale de l'ordre de 1-2 cm chez ''[[Lestes virens]]'' ou ''[[Sympetrum meridionale]]''. ''[[Coenagrion puella]]'' ne s'est montrée (une fois) qu'en eau plus profonde (50aine de cm), la quarantaine de cm correspondant à ''[[Platetrum depressum]], [[Sympecma fusca]]'' ou ''[[Coenagrion scitulum]]'' par exemple. ''[[Lestes dryas]]'' considère des profondeurs de l'ordre de 30 cm en moyenne. Une salinité de 7,7 g/l est acceptée par ''Thalassalestes macrostigma'', alors que les autres espèces sont des milieux plus doux comme par exemple 5,6 g/l pour ''[[Sympetrum meridionale]]'', 3,6 g/l pour ''[[Lestes barbarus]]'' et 2,2 g/l pour ''[[Coenagrion scitulum]]''. Ce sont ici des moyennes.


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Thalassalestes macrostigma

🔍 - ©© byncsa - Cyrille Deliry - Histoires Naturelles - ♀ à l'île de Ré (Charente-Maritime) le 18 mai 2025

Sur Moëze-Oléron selon Olivier (2020), la hauteur moyenne d'eau des habitats fréquentés par cette espèce est de 15 cm. Elle est similaire chez Pumilischnura pumilio (= Ischnura pumilio), Enallagma cyathigerum ou Lestes barbarus alors qu'elle est minimale de l'ordre de 1-2 cm chez Lestes virens ou Sympetrum meridionale. Coenagrion puella ne s'est montrée (une fois) qu'en eau plus profonde (50aine de cm), la quarantaine de cm correspondant à Platetrum depressum, Sympecma fusca ou Coenagrion scitulum par exemple. Lestes dryas considère des profondeurs de l'ordre de 30 cm en moyenne. Une salinité de 7,7 g/l est acceptée par Thalassalestes macrostigma, alors que les autres espèces sont des milieux plus doux comme par exemple 5,6 g/l pour Sympetrum meridionale, 3,6 g/l pour Lestes barbarus et 2,2 g/l pour Coenagrion scitulum. Ce sont ici des moyennes.

Références

Landemaine D. 1991 - Lestes macrostigma (Eversmann) dans le marais d'Olonne (Vendée). - Martinia, 7 (3) : 58.
Lebioda B. 1987 - Un méditerranéen exilé en Charente-Maritime : Lestes macrostigma (Eversmann, 1836) (Odonata, Zygoptera : Lestidae). - Martinia, 6 : 27-28.
Machet P. 1990 - La présence de Lestes macrostigma (Eversmann, 1836) dans l'Ile de Noirmoutier, Vendée (Odonata, Zygoptera : Lestidae). - Martinia, 6 (1) : 17-18.
Modèle:Olivier2020 Orieux G. 1994 - Observations odonatologiques sur l'Ile de Ré (Charente-Maritime). - Martinia, 10 (1) : 1-2.

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